Qu’est-ce que la Coupe du monde 2019 de football peut, et va, changer dans le combat contre les stéréotypes de genre, dans la société française et au-delà de nos frontières ?

Ces sujets, sur le football et le sport en général, sont analysés dans mon dernier livre, « Le sport, outil d’émancipation des filles et des femmes à travers le monde » (Sport et Citoyenneté, mai 2019) :

Alors que l’accès aux droits et aux ressources est dénié aux filles et aux femmes partout dans le monde, cet ouvrage met en lumière onze bonnes pratiques promouvant leur émancipation par ou dans le sport, afin qu’elles prennent toute leur place dans la société et que soient combattues discriminations et inégalités structurelles genrées.

C’est en faisant connaître de telles expériences positives que l’on peut bâtir des coopérations internationales en faveur de l’égalité. Bien que délibérément gender-conscious, ces dispositifs ont un but universel.

De leur côté, les Grands événements sportifs internationaux (GESI) doivent accélérer un changement social émancipateur et en mesurer le legs durable.

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As access to rights and resources is denied to women and girls all over the world, this book brings to light eleven examples where they have been empowered through or by doing sport, in such a was as to encourage them to take their full place in society, and to fight against structural gender discrimination and inequalities.

By learning about such positive experiences, we can build international cooperation schemes in favor of equality. Although they are being deliberately gender-conscious, there is no paradox in the fact that the schemes have a universal aim.

As for Major International Sports Events (MISE), they must accelerate liberating social changes and measure their sustainable legacy.